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Lauréat Carré Sur Seine 2016

Benoît
Carpentier

Né en 1976 à Valenciennes, France.
Site web : benoitcarpentier.blogspot.com

Benoit Carpentier

Lauréat Carré Sur Seine 2016

Benoît
Carpentier

Né en 1976 à Valenciennes, France.
Site web : benoitcarpentier.blogspot.com

Après des études d’Arts Plastiques à l’université de Valenciennes et à l’école des Beaux Arts de Palerme (Italie – programme ERASMUS) il développe un travail plastique autour de la lumière et du temps  mêlant les médiums de  la sculptures, de la photo et de la vidéo.

Depuis 2008 son travail est exposé dans différents lieux principalement à Paris, Lille et en Belgique dont le salon de MontRouge  et la YIA artFair en 2014, la MAAC de Fresnes, la fondation Zervos et L’espace Center Bastille. De 2012 à 2014 il collabora avec la Galerie Charlotte Norberg et a reçu le prix coup de cœur « carré sur Seine » en 2017.
En 2005, il participe à la performance « preset Objects » avec la Danseuse Pascale Gille qui fut présenté au festival « Body Navigation » à St Petersbourg. En 2011 il effectue une résidence au TAMAT (Belgique) puis à Rome en 2012. En 2018 c’est avec la Compagnie Balade qu’il performe en tant que plasticien pour la pièce « Cabanes » de la chorégraphe Sylvie Giron.
Depuis 2012, il anime des ateliers et stages d’arts plastiques pour enfants dont certains en collaboration avec la danseuse Pascale Gille dans la Drôme et sur Bruxelles ainsi que des interventions artistique en Lycée.

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LA CASA
– exposition-événement des lauréats du Prix Carré sur Seine, du 3 au 24 février 2023 –

C’est une malle qui recèle « Les Mondes fluides » autrement dit les coulisses de l’atelier, le mood board de ses projets, de ses collaborations avec le milieu du spectacle, et les plans de pièces en cours. Une malle qui témoigne du « passage vidéo », c’est-à-dire la phase de travail où toutes les images deviennent par l’animation « une matière visuelle ». Après cela, il imprime, explique-t-il, « ce phénomène sur la toile par un procédé numérique qui fige les espaces temporels, les modèles et matérialise un monde fluidifié par la lumière et le temps. »

Son travail s’apparente à une forme revisitée de modelage, de découpe du réel qu’on associerait facilement à des chorégraphies, des hallucinations formelles comme s’il suivait du regard les mouvements de son cortex. Sur ce dance-floor mouvant et cérébral, la sinuosité des images découpées, enlacées de Benoît Carpentier proviennent de leurs transformations par la technologie (vidéo, impression, découpe, tissage, etc.) qui traque la lumière dans une quête insaisissable : rendre perceptible le temps qui s’écoule.

Quelques Échantillons

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