CARRE SUR SEINE relance le cycle ÉCOUTEZ VOIR saison 2020/2021, pour faire entendre la voix de ceux dont les créations nous émerveillent et pour sensibiliser le public à l’art contemporain et encourager l’émergence de nouveaux collectionneurs. Une occasion de présenter de manière originale des travaux artistiques, percer les secrets d’une démarche d’artistes, interroger les éléments d’une œuvre.

Ne manquez pas ce premier de rendez-vous de la saison en VisioConférence sur Zoom : Mercredi 14 octobre à partir de 20h (CET)

Pour assister à la conférence, ouverte à tous, il vous suffira de cliquer depuis votre ordinateur sur ce lien Zoom qui vous permettra de l’installer, d’entrer dans l’espace virtuel de la conférence, et de nous retrouver.

Pour ce qui en auront besoin, voici le ID et le mot de passe :
ID de réunion : 818 6168 4059
Password : 059077

Rencontres privilégiées faites de confidences d’artistes, de visionnages d’œuvres dans l’intimité et la magie d’une salle de projection. Les artistes rendent compte de leur travail, tour à tour, en vous racontant leur univers, leur parcours et leur démarche. Questions et débats clôturent la présentation.

Toutes les disciplines artistiques sont abordées de la peinture à la vidéo en passant par la sculpture, les installations ou bien la photographie. Une occasion de choix pour l’investigation artistique, de vrais instants de partage et de dialogue entre artistes, collectionneurs et membres de CARRÉ SUR SEINE !

Deux artistes à l’honneur ce mercredi 14 octobre 2020 :

Adrianna Boussac – plasticienne
Erick Derac – photographe

Adrianna Boussac

Le circuit imprimé est un objet intriguant. Dans les formes, sa géométrie variable et les éléments qui le composent donnent à voir des immeubles ou des villes vues du ciel. Ce qu’il symbolise, un monde où la technologie est reine au dépend des relations humaines m’interpelle et me questionne profondément. Entre la forme et la symbolique, c’est un objet que je trouve très intéressant à travailler.

“…Érick Derac fait partie de cette lignée d’artistes qui, des Dadaïstes à Fabrice Hyber, non seulement ne croient pas à une possible pureté du monde, mais font de l’impureté un principe de création. Transparentes et colorées, les photographies de Derac, dans un esprit aussi joyeux que subversif, se glissent entre le monde et nous, altérant l’image lisse que nous pourrions avoir de celui-ci.”

– Anne Malherbe.