Marie
Queau
Born in 1985 in Choisy-le-Roi, France.
Site web : www.mariequeau.com
Marie Queau
Born in 1985 in Choisy-le-Roi, France
Site web : www.mariequeau.com
Marie Quéau has lived and worked in Paris since her last residency at the Cité internationale des arts in 2017. Graduate of the ENSP Arles (2009), her work has been exhibited at the PhotoLevallois Festival, the Salon de Montrouge, the International Festival of Fashion and Photography in Hyères, Filature Mulhouse, Gallery Michel Chomette, as well as in various museums and institutions.
In 2012, she received the Nofound Photo Fair/de Groot Foundation Prize for her series Gojira. Started in 2013, her Odds and Endsproject has already been supported by the CNES Space Observatory, the DRAC Grand Est and the Centre Européen d’Actions Artistiques Contemporaines (international project grants). In 2016, the artist was selected for a post-production residency at the CPIF (Centre Photographique d’Ile-de-France) where she exhibited Odds and Ends series within the frame of Les Précipités #3. Her photographs were also displayed at Présent & Projet exhibition, held at the Cité internationale des Arts in 2017. Marie Quéau was also laureate of the 2017 CNAP creation grants (contemporary documentary photography). In 2018, Odds end Ends won the Carré sur Seine Prize and was named among the finalists for the HSBC Photography Prize. In september 2018, her series Handbook was published by September Books. In the meantime, Marie Quéau has participated in various collective exhibitions in Ofr. bookstore, Galerie Triple V and les Frigos in Paris. She has also taken part in collective publications such as Passion #3« La belle vie sous un autre angle« , Alterzeitgeist by Marielle Chabal and Talweg 02 (Pétrole éditions). She was recently laureate of the « Résidence sur Mesure« grant, supported by the French Institute, for her project « 232,8°C« that will be led in Rio (Brazil) in 2019.
LA CASA
– exposition-événement des lauréats du Prix Carré sur Seine, du 3 au 24 février 2023 –
Une malle plutôt qu’une valise pour la photographe ; pour contenir les images qu’elle découpe, développe, conserve et qui sont « le moteur de son rapport au réel » ; des sources avec lesquelles elle dit, « vivre au quotidien ». Cette fois, elle les a décrochées des murs de son atelier pour les réserver dans la caisse. Si la lecture possède une autre échelle, elle signifie bien sa façon de travailler et son intimité. Le contenu décrit le flux et l’inspiration qui traversent son travail.
Dans une ambiance photographique particulièrement épaisse par la matière et la lumière qu’elle capte, Marie Quéau fixe dans sa série Le Royaume des instants sportifs et carnavalesques qui témoignent de notre appartenance au monde primitif. L’effort et la fête rendent aux corps de ceux qui s’immergent dans le limon une esthétique salvatrice et mystérieuse. L’artiste communique la colorimétrie de notre connivence avec la Nature quand l’alchimie de la vie contient en substance celui de la mort, sous le jour du renouveau.
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